Dans un contexte économique tendu, le mandat ad hoc et la conciliation sont des procédures confidentielles qui permettent d’anticiper les difficultés d’une entreprise. Souples, protectrices et souvent méconnues, elles offrent une alternative stratégique à la procédure collective, tout en laissant le dirigeant maître de la gestion. Profitez de leurs avantages, notamment en cas d’accord homologué (force exécutoire, protection contre les poursuites, privilège du new money).

Un salarié peut-il vraiment racheter l’entreprise qui l’emploie lorsqu’elle est en liquidation judiciaire ? La réponse est oui, sous certaines conditions. Lorsqu’une entreprise est en difficulté, le salarié peut présenter une offre de reprise dans le cadre d’un plan de cession devant le tribunal. Cet article vous donne la procédure, les conditions à remplir, les pièges à éviter, et les avantages pour le repreneur salarié.

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Reprendre une entreprise à la barre du tribunal en plan de cession constitue une opportunité stratégique pour une entreprise existante. Le rachat d’une entreprise en redressement judiciaire ou en liquidation judiciaire permet d’élargir sa clientèle, ses équipements, ses salariés, ou à accéder à de nouveaux marchés. C’est aussi un moyen de se lancer en tant qu’entrepreneur pour un cadre en reconversion.

Les risques pour les membres d’un GIE en cas de liquidation judiciaire sont très élevés. Les membres du GIE peuvent être individuellement condamnés à payer un créancier de l’intégralité de sa créance, voire de l’ensemble des dettes du GIE si tous les autres membres du GIE s’avèrent insolvables. Principes de la liquidation judiciaire appliquée au
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